lundi 11 février 2008

Dead Can Dance


Présentation d'un groupe hors normes Dead Can Dance,
un son hors du temps pour une superbe ambiance !
voilà plus de 15 ans que j'écoute ce groupe sans arriver à me lasser,
un petit moment calme dans un monde de plus en plus stressé.

je mets un de leur titre , en "chanson de la semaine"
mais que le choix a été difficile , tellement leur discographie est fournie en titres majeurs !!


Biographie tirée de Wikipedia:

En 1981 à Melbourne, Brendan Perry fonde Dead Can Dance avec Simon Monroe (batterie) et Paul Erikson (basse), rapidement rejoints par Lisa Gerrard que Brendan a rencontré alors qu'ils se produisent tous les deux dans des clubs locaux. Le nom du groupe évoque un masque aborigène, apparemment macabre mais qui devait symboliser la capacité des choses "inanimées" à devenir animées (comme les instruments de musique par exemple...). En 1982, le groupe déménage à Londres, dont la scène leur paraît plus propice à l'ambition d'une musique non conventionnelle. Simon Monroe étant resté en Australie, le trio recrute le batteur Peter Ulrich, qui habite le même lotissement dans l'East End londonien et c'est avec lui qu'ils enregistrent des démos qu'ils envoient à des maisons de disque. La première année semble très difficile pour les musiciens, qui vivent d'allocations chômage. En 1983, Paul Erikson est remplacé à la basse par Scott Rodger. Le groupe est augmenté dans la même année de James Pinker aux percussions, mais il semble bien que la création musicale procède déjà essentiellement de Brendan et Lisa.

Les démos ayant intéressé Ivo Watts Russell du label 4AD, Dead Can Dance se voit offrir l'opportunité de faire deux fois la première partie du groupe Xmal Deutschland en juin et juillet 1983. Les prestations de Dead Can Dance sont convaincantes, et Ivo signe le groupe et leur permet d'entrer en studio pour enregistrer en septembre. En novembre, Dead Can Dance assure la première partie de Cocteau Twins sur une tournée de 7 dates, puis enregistre une session à la BBC pour John Peel.

Leur premier album Dead Can Dance, sort en février 1984. Il marie les influences rock de Perry avec celles plus mystiques et classiques de Gerrard. Ainsi se côtoient morceaux cold à la basse doucereuse (A passage in time) avec Perry au chant, à des morceaux plus enlevés et éthérés comme Ocean ou Musica Eternal. C'est aussi l'apparition de percussions, chose assez inhabituelle dans le paysage sonore de l'époque et ajoutant à l'ambiance cérémoniale de l'album.

Les premières rentrées financières permettent à Brendan Perry de faire l'acquisition d'un synthétiseur-échantillonneur et d'une boîte à rythmes. Il se lance immédiatement dans la composition de morceaux avec des sons de cuivres, de cordes et des percussions d'orchestre. Ivo Watts Russell leur alloue également plus de temps de studio, et les confie aux bons soins d'un nouveau producteur, John A. Rivers.

Leur second opus, Spleen and Ideal est une référence aux poètes et symbolistes du XIXe siècle, en particulier à Charles Baudelaire, dont le recueil Les Fleurs du Mal comporte un chapitre intitulé Spleen et idéal. L'ambiance générale est plus intimiste, plus sombre, l'instrumentation rock laisse place aux partitions classiques (violon, violoncelle, timbale). La voix de Lisa Gerrard est plus travaillée et plus discernable. La tournée étonne le public, peu habitué à ces ambiances mystiques et magiques, qui tranchent avec la New wave de l'époque, ou encore les atmosphères de concerts gothiques.

Les Dead Can Dance développent encore cette thématique de musique éthérée en produisant Within the Realm of a Dying Sun. Cet album navigue entre morceaux mystiques comme Anywhere out of the world et atmosphériques Summoming of the Muse.

Puis avec The Serpent's Egg, leur quatrième album, ils multiplient les influences et les mélanges. L'émergence du style médiéval se fait sentir dans Orbis de Ignis ou Chant of the Paladin et la musique religieuse baroque dans Ulysses ou Severance.

Aion continue dans cette voie baroque et joue dans le registre de la musique liturgique de la Renaissance.

Dead Can Dance poursuivra ses explorations musicales avec Into the Labyrinth et Spiritchaser, plus influencés par les musiques du monde et les percussions tribales.

lundi 4 février 2008

Présentation ; MORIARTY


ce Week end je suis tombé amoureux d'un groupe que je ne connaisais pas du tout,
en un clip je suis resté littéralement "Scotché"
Moriarty est un groupe français composé de 5 musiciens,Charles, Thomas, Stéphane Arthur et Rosemary ,chantant un mélange de Blues vieillot, Country, Rock ...
la première chanson que j'ai entendu fut Jimmy, dont vous pouvez voir le clip sur leur "Myspace"
Myspace de Moriarty
mais ce n'est rien par rapport à la chanson private lily ( vous pouvez l'écouter dans leur playlist), vraiment une superbe chanson, tout en contraste
la voie de la chanteuse Rosemary est tout bonnement sublime !!!
l'album est tout aussi envoutant, il n'y a pas une chanson à jeter
cela fait longtemps que je n'avais pas accroché aussi vite sur un album,
A acheter de toute Urgence !!!!